maio 08, 2007

Go Rome


Piazza del Popolo
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Piazza Cavour
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Castel Sant' Angelo
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maio 05, 2007

L’homosexuel et les femmes

...Un préjugé banal veut que la plupart des homosexuels soient fort peu attirés par les femmes. Ce n’est vrai que pour une minorité. La grande majorité d’entre eux est bisexuelle. La fixation à cent pour cent dans l’homosexualité peut être due à un dégoût complet de l’autre sexe, mais ce dégoût reste assez exceptionnel lorsqu’il n’est pás feint. Le psychanalyste parisien S. Schentoub raconte comment un de ses clients s’amusait innocemment, enfant, à introduire une canule à injection dans sa bouche. Un jour, il apprit son véritable usage en surprenant sa mere en train de s’en servir : la répulsion qu’il ressentit devait se reporter sur toutes les femmes et le pousser vers son propre sexe.

Bien plus généralement, l’homosexuel total est celui qui a pratiqué exclusivement et trop longtemps son inversion ; il en demeure définitivement marqué. Une experience concluante fut faite sur des rats par l’Américain Jenkins : ayant séparé les sexes pendant un temps variable, les rats mâles devinrent homosexuels ; mais, remis en presence de femelles, ils tardèrent d’autant plus à les couvrir qu’ils etaient restés plus longtemps entre eux. L‘homosexualité gardait ses charmes en proportion du temps où elle avait été pratiquée. Dês expériences tout aussi édifiantes furent effectuées avec d’autres animaux.

...Si l’on se penche sur ce que fut le mariage des homosexuels les plus notoires, on s’aperçoit qu’à de rares exceptions près, ils eurent dês rapports avec leur femme et même avec d’autres. Henri III, à Venise, eut des relations avec des courtisanes de haut vol ; il fut en outre um mari correct et ne déserta pas la couche conjugale. Philippe d’Orléans, frère de Louis XIV, un des homosexuels les plus fameux de l’Histoire, se maria deux fois : sa première femme fut perpétuellement enceinte. Veuf, pour mettre dans le même état sa deuxième épouse, l’hommasse princesse Palatine, il dut adopter des techniques d’inverti. L‘actuelle Maison d’Orléans en provient.

...Verlaine fut ardemment et efficacement amoureux de sa très jeune et chaste femme, malheureusement trop peu expérimentée pour le retenir dans l’orthodoxie sexuelle. Oscar Wilde se montra, lui aussi, très ardent avec son épouse et la rendit mère ; mais deux maternités successives la saccagèrent : le dégoût fut tel chez Wilde qu’il devait ouvrir les fenêtres et se laver les dents chaque fois qu’il avait eu un contact avec elle.


...Par contre, d’autres mariés homosexuels ne purent jamais consommer leur mariage. Tchaikowski dut même s’enfuir jusqu’au Caucase pour mettre plus de distance entre sa femme et lui. Cependant, avec une épouse plus adaptée, l’échec n’aurait peut-être pas été inéluctable : em effet, à 17 ans, il avait témoigné de velléités hétérosexuelles. Mais la femme qu’il épousa l’avait harcelé de ses assiduités : par faiblesse il y céda.


Contrairement à la légende, ils ont souvent les femmes à leurs pieds. Ce qui ne veut pas dire à leur cou...
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...Beaucoup d’homosexuels sont d’excellents et prolifiques pères de famille, une certaine féminité rendant même quelque peu maternel leur instinct paternel. Toutefois, assez inexplicablement, ils engendrent une plus forte proportion de garçons. Le phénomene a été vérifié par Kallmann, sur les jumeaux pédérastes, et une statistique, rappelée par
le Pr Touraine, portant sur 500 enfants d’homosexuels, donne les résultats suivants : 122 garçons pour 100 filles, au lieu de 105 normalement. La même proportion insolite de garçons a été retrouvée dans l’insémination artificielle pratiquée à froid par seringue : d’ou l’hypothèse que lê manque d’ardeur dans les rapports, chez lês homosexuels mariés, pourrait être anormalement prononcé.

...Cependant, la grande majorité des invertis convaincus restent célibataires ou se comportent comme tels lorsque le mariage n’a été contracté que pour servir de couverture ou satisfaire une lesbienne désireuse d’un mari inoffensif. Quelques invertis ne veulent même pas que les pratiques érotiques avec leur sexe puissent rappeler l’autre sexe, d’ou le refus de la sodomie : la pénétration anorectale de l’organe mâle rappelant fâcheusement celle du vagin.
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L’un des invertis les plus fameux de l’Histoire : Philippe d’Orléans. Ce qui n’a pas empêché sa lignée d’aboutir au comte de Paris
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Un précurseur, victime de l’incompréhension victorienne : Oscar Wilde. Il se lavait les dents chaque fois qu’il embrassait sa femme !
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...Enfin, beaucoup d’invertis demeurent célibataires parce qu’ils n’ont pas trouvé le type de femme capable de s’adapter à leur homosexualité. Certains films ou récits romanesques nous présentent un jeune homosexuel qu’une amoureuse entreprend de détourner de son inversion par des rapports normaux. Or, de telles tentatives, pour réussir, requièrent des partenaires parfaitement adaptées, techniquement et physiquement. C’est pourquoi elles rencontrent si peu de succès dans la réalité. Les nazis qui enfermaient les homosexuels dans des camps avant de les exterminer, les mêlaient à des prostituées : aucune reconversion ne se produisait. En effet, des professionnelles grossières, prêtes à les mépriser ou à les tourner en ridicule, n’étaient guère pour eux un objet d’attraction.

Toutefois, des invertis endurcis ont pu devenir un moment des adeptes de l’amour intersexe avec une partenaire appropriée. Un cas resté fameux est celui de Cambacéres, l’Archichancelier de Napoléon : homosexuel avoué, il éprouva le grand amour pour une jeune comédienne ; il l’avait vue sur une scène dans un costume de garcon pour lequel elle semblait faite. Enceinte, elle prétendit que l’Archichancelier était responsable de son état ; il protesta, affirmant ne l’avoir connue que « postérieurement ». Le mot fit fureur à la cour impériale et enchanta Joséphine.

...Des techniques proches de l’homosexualité peuvent fixer ou amener l’inverti dans la couche conjugale. P. Gillette cite le cas d’un instituteur de 36 ans qui avait épousé une collegue vierge : il fut incapable de la déflorer pendant cinq ans. On parla alors à sa femme de la fellatio et d’autres techniques familieres à l’homosexualité ; avec leur pratique, lê mari put consommer le mariage et fut durablement puissant. Il est d’ailleurs fréquent que l’homosexuel sollicite de sa femme les mêmes techniques qu’avec sés partenaires masculins : fellatio, masturbattion ou cunilinctus (applications bucco-clitoridiennes qui sont l’équivalent de la fellatio active dans l’homosexualité). Les positions d’une épouse qui se présente de dos ou chevauche son mari sont d’autres rappels homosexuels.

...La plasticité de la plupart des homosexuels, capables d’opter pour l’un ou l’autre sexe, explique le nombre parfois record de leurs partenaires. Ainsi l’empereur romain Commode s’était constitué un super-harem de 300 éphebes mâles s’ajoutant à 300 femmes. W. Pomeroy, le co-auteur avec Kinsey du fameux rapport, a récemment publié l’histoire d’um sexagénaire américain qui tenait un registre minutieux de ses conquêtes : 2.600 mâles et 200 jeunes femmes qui lui donnèrent 28 enfants naturels. Ses amours consignées dans les coffres blindés de l’Institut Kinsey laissent loin derrière les performances de Casanova. Ce don Juan universel avait été formé très tôt à l’homosexualité par son père et 17 parents mâles.

...Le bisexualisme en puissance de l’homosexuel a reçu une confirmation collective, lorsque les communistes dispersèrent hors de leurs lamaseries les moines thibétains ; éparpillés dans les vallées du sud de la Chine, ces moines, selon Han Suyin, abandonnèrent leurs coutumes pédérastiques et détournèrent d’innombrables épouses.

...Si l’homosexuel exclusif reste une exception, l’hétérosexuel exclusif en est une autre. Casanova, selon le texte maintenant authentique de sés Mémoires, ne dédaignait pás « l’amour à l’envers ». Gabriele d’Annunzio, autre grand séducteur, n’était pas insensible non plus aux charmes d’un adolescent, si l’on en croit les confidences d’un écrivain italien à A. Calas.
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in Le Crapouillot; Nouvelle Série, nº 12 “Les Pédérastes”; Aout – Septembre 1970, Paris

maio 04, 2007

Procuram-se apóstolos


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...Deus deseja atingir o homem através do homem. A existência de Deus será comunicada aos outros na proporção da significação de sua existência para nós. Fechar-se à ação de Deus equivale a bloquear o caminho pelo qual ele pretende chegar ao nosso próximo.
...Não é preciso que sejamos superdotados. A história da santidade o comprova. Há santos da estatura excepcional de Santo Agostinho e de Santo Tomás de Aquino, mas também homens e mulheres bem simples como Santa Zita, uma empregada doméstica, ou um mendigo como São José Labbre.
...Nem é indispensável ter atingido o cume da santidade: Paulo era perseguidor da Igreja e Charles de Foucauld foi chamado quando estava mergulhado no pecado.
...Há lugar para jovens e velhos, para solteiros e para casados, para homens e mulheres, até para crianças. Todos somos candidatos à santidade e candidatos a instrumentos de Deus.
...Ter vocação é sentir no íntimo o chamado de Deus para realizar uma missão. Ao mesmo tempo que Deus convoca, concede os dons necessários para efetivarmos nossa resposta.
...Não é orgulho pensar: o Senhor precisa de mim! Mais ainda: aquilo que posso fazer eu na minha situação, nenhum outro o poderá fazer, mesmo se mais inteligente ou mais santo. De um lado, isto provoca e estimula o empenho, porém, de outro lado, desperta um sentido de satisfação e alegria.
...Ao se falar de instrumento de Deus, não se pretende reduzir o homem à condição de um objeto inerte como o martelo ou a máquina, que necessariamente são manejados pelo artífice. O homem é um instrumento capaz de dizer sim ou não. Com mais propriedade, deveríamos dizer que somos chamados a ser colaboradores de Deus.

in À Escuta de Deus, Homilias do Ciclo C; Gollarte, Frei Paulo – Vozes – Petrópolis, 1982

Fadas


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Eram as duas moças das janelas,
que a todos encantavam e sorriam,
de toda a cidade eram as mais belas,
aos olhos darem o que já sabiam.

Uma refletia as manhãs entre elas,
as tardes sem a outra escureciam;
a cada dia a graça vinha delas
e às noites davam o que lhes luziam.

As janelas um dia se fecharam,
a cidade ficou triste e pequena
e as duas não puderam mais ser vistas.

Desde então as janelas se calaram,
mas guardam o lembrança, assim, serena,
dessas moças que não deixaram pistas.

in Os Pirineus e os Outros Eus; Peliano, José Carlos Pereira – Relume Dumará – Rio de Janeiro, 1996 – Foto de Roberto Castelo

maio 03, 2007

Mosaico


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Dispersão dos judeus brasileiros
Solidonio Leite Filho

...Embora as leis de Hespanha vedassem aos suspeitos, em materia de fé, a entrada nas possessões ultramarinas, conseguiram sempre os descendentes do povo de Israel burlar a severa prohibição. Os proprios christãos, movidos pelo interesse, não raro lhes facilitavam os meios de se transportarem ás novas conquistas. Assim, já no primeiro quartel do seculo XVI, se encontravam refugiados na America Hespanhola alguns sectários da religião mosaica.
...Debalde os reis de Castella procuraram obstar a fuga dos que receiavam ser victimados pela Inquisição. As providencias, tomadas pela côrte, não produziram os desejados effeitos. Apezar da rigorosa vigilancia exercida, nos portos da metropole, sobre as embarcações destinadas ao Novo Mundo, crescia ahi, pouco a pouco, o numero de moradores israelitas. Contribuiu para isso o commercio que as nascentes colônias principiavam, então, a ter com os mercadores de outras nações. As naus que, frequentemente, aportavam ás costas do Mexico, das Antilhas e dos dominios da America do Sul, introduziam nos seus territórios elementos das mais variadas crenças.
...A hospitalidade encontrada por esses herejes entre os habitantes, assim naturaes como castelhanos, attrahiu diversos judeus de Portugal, perseguidos pelo fanatismo religioso das multidões, a virem buscar abrigo nestas paragens. Cahiram alguns nas mãos do inquisidôr frei João de Zumárraga. Em 1537, figuram, entre os processados, dois portuguezes, um dos quaes, Manoel Borallo, fôra preso por suspeitas de judaismo. No anno seguinte, são denunciados, como herejes judaisantes, Pedro Ruiz ou Fernandes de Alvor, natural das ilhas dos Açores, e Francisco Millan, filho de judeus portuguezes de Utrera (1).
...Mas, a actividade do primeiro bispo do Mexico, além de circumscrever-se a determinadas provincias da Nova Hespanha, devia ter pouca duração. Effectivamente, passados cinco annos de sua nomeiação para o cargo de inquisidor, apparece uma unica denuncia, não contra individuo de raça hebréa, mas contra accusado de bigamia. Dahi por deante declina, sensivelmente, o prestigio do Santo Officio. Os successores de Zumárraga não punem os verdadeiros herejes. Limitam-se a processar os adversarios, para satisfação de suas paixões e de seus odios particulares; deixando impunes os attentados contra a doutrina catholica.
...Com o correr dos tempos, tornou-se cada vez mais preponderante a influencia dos subditos infieis. Relaxaram-se os bons costumes dos antigos conquistadores. Ecclesiasticos e seculares viviam desenfreadamente. Como não recebessem por subsidio senão as penas pecuniarias applicadas aos réos, cujas denuncias fossem julgadas procedentes, os delegados especiaes do Santo Officio desinteressavam-se de processar os herejes desprovidos de fortuna. Tratavam de extorquir dinheiro dos ricos e opulentos, que, a troco de recompensas, conseguiam livrar-se dos seus algozes. Natural era, pois, continuassem os profugos da intolerancia religiosa da Peninsula Iberica a estabelecer-se na America Hespanhola.
...A circumstancia de ser uma grande parte delles, talvez a maior, de origem lusitana faz presumir tivesse o Brasil servido de escala aos que desejavam passar aos dominios pertencentes aos reis de Castella. É até provavel que, impellidos pela mesma attracção que as minas do México e do Perú exerceram sobre as populações européas, alguns colonos abandonassem as terras sujeitas ao sceptro de D. João III, para irem viver nas demais regiões do novo continente.

...Em 1580 Portugal e suas colonias passam para o dominio de Hespanha; os portugueses convertem-se em subditos da corôa castelhana. As relações entre os habitantes do Brasil e as demais colonias americanas tornam-se mais frequentes. Rasgam-se as fronteiras; encurtam-se as distancias, renovam-se as communicações terrestres entre o Paraguay e S. Vicente. Navios carregados de prata dirigem-se aos portos da America Portuguesa. Ao mesmo tempo em que aventureiros hespanhoes se fixam em diversas capitanias brasileiras, confundindo-se com os colonos lusitanos, bandeirantes paulistas, que desde meiados do seculo, já haviam caminhado até Assumpção, visitam as regiões do Rio da Prata. Entre passageiros e expedicionarios, misturam-se representantes do judaismo, que se derramam pelo Perú, Nova Granada, Provincias do Prata e demais territorios da America do Sul.
...A noticia da proxima vinda de Heitor Furtado de Mendonça, incumbido de visitar as terras de Santa Cruz, atemorisou os adeptos da lei velha. Em Pernambuco, muitos christãos novos prepararam-se para a fuga, negando-se a passar letras. (2) Conseguiram evitar o exôdo a impossibilidade de se apurarem, de um momento para outro, todos os haveres, a escaceza dos meios de transporte e a confiança na benevolencia das autoridades civis e ecclesiasticas da colonia. Dahi o ter a maioria dos christãos novos aguardado os acontecimentos. Nem todos, porém, preferiram os riscos das perseguições, que os poderiam lançar nas chammas da Inquisição, aos incommodos de novas peregrinações. Alguns houve, que por temerem as denuncias dos correligionarios ou as vinganças dos inimigos, abandonaram suas casas e partiram para as possessões da Africa; (3) outros embrenharam-se pelas conquistas da America do Sul, onde se encontravam diversos crentes do Deus de Abraham.

(1) Medina, La primitiva Inquisición Americana, pags. 188 e 189.
(2) Denunclações de Bahla, p. 452.
(3) Denunciações de Pernambuco, p. 365.

Os Judeus na História do Brasil; Vários Autores – Uri Zwerling – Rio de Janeiro, 1936

Motes


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Além dos assuntos, você também pode dar um Mote para os poetas no palco. O Mote é feito de dois versos que você deve imaginar, escrever num papel e entregar no palco. Não se preocupe de fazer os versos certinhos: no caso estiverem desmetrificados, como se diz, serão corrigidos na hora pelo pessoal do palco ou pelos próprios violeiros. Eis um exemplo de Mote de 7 sílabas:

Mote:
"Que ninguém morra esquecido
na terra do retirante".

Glosa (improvisada pelo repentista):
"A Saúde é um direito
de qualquer um cidadão.
Seja mendigo ou peão
merece todo respeito
do doutor ou do prefeito.
É dever do governante
dar assistência constante
ao doente desvalido.
Que ninguém morra esquecido
na terra do retirante
"

(versos de José Antonio dos Santos)

in Como o povo participa da cantoria – Casa das Crianças de Olinda, 1994

A Paixão segundo GH


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gastrite — Irritação da parede interna do estômago (por remédios ou algum tipo de alimento, por exemplo).
gonorréia/blenorragia — Doença infecciosa, sexualmente transmissível, provocada pela bactéria gonococo.
gripe/resfriado — Gripe é infecção das vias respiratórias causada pelo vírus da influenza. Resfriado é infecção das vias respiratórias provocada por vários tipos de vírus. Os sintomas da gripe são, em geral, mais intensos e mais sistêmicos (acometem o corpo todo, como dores musculares, mal-estar, fadiga) do que os do resfriado.
hanseníase — Doença infecciosa provocada pelo bacilo de Hansen, de transmissibilidade moderada. Caracteriza-se por lesões na pele e comprometimento dos nervos periféricos, tendo como conseqüência anestesia e alteração da sensibilidade na pele, nos músculos e nos ossos. Não use os termos "lepra" e "leproso" para caracterizar a doença e seus portadores.
hantavírus — Vírus transmitido por fezes e urina de ratos. Provoca em seres humanos encefalite e síndrome pulmonar-renal (insuficiência renal com infecção pulmonar). A transmissão para seres humanos ocorre no contato da água contaminada com a pele lesada. O vírus não provoca a doença nos ratos e não é transmitido de uma pessoa doente a uma pessoa sadia (transmissão de pessoa a pessoa). Inicialmente, a doença simula um estado gripal, com febre alta, dores musculares, tosse seca e dor de cabeça.
hemorróidas — Inflamação e dilatação nas veias que se localizam na região do ânus; podem ser dolorosas e provocar sangramentos.
herpes — Doença infecto-contagiosa provocada pelo vírus do herpes, caracterizada por lesões em forma de pequenas bolhas. Pode aparecer na região labial, genital (vagina, pênis e ânus), no tórax ou nos olhos.

in Manual da Redação da Folha de S. Paulo – Publifolha – São Paulo, 2001

maio 01, 2007

Receita



Os afetos teimados
Uma aflição trancada
Angústias de estimação
Sempre presentes
Uma observação fugaz
Amor que aumenta
E dói
Ou não
Tristezinhas
Pequenas alegrias
Semibreves de prazer
Uma lembrança pinçada
Uma ilusão dançante
(Águas de Inverno)
Um caldeirão de tempo
E uma morte companheira
Amiga mesmo
Das que nunca vão
Das que nunca vêm

in Os originais; Pimentel, Cid – Hucitec – São Paulo, 1986

POSSÍVEL


D. Möglich; E. Possible; F. Possible; I. Possibile.

Uma das categorias fundamentais da modalidade. Esta palavra entende-se quer no sentido objetivo (= independente daquele que fala, válido para todos), quer no sentido subjetivo.
...1º: Objetivamente: o que satisfaz as condições gerais impostas a uma dada ordem de realidade ou de normalidade.
A. Diz-se "absolutamente" ou "logicamente possível" aquilo que não implica contradição.
B. Diz-se "fisicamente possível": 1º, o que satisfaz as condições gerais da experiência: "Was mit den formalen Bedingungen der Erfahrung übereinkommt ist möglich." ("Aquilo que está de acordo com as condições formais da experiência é possível") KANT, Krit. der reinen Vernunft (Transc. Anal., Post. des emp. Denkens; A 218; B 265); 2º, o que não está em contradição com nenhum fato ou lei empiricamente estabelecida; 3º, o que é mais ou menos provável. "Na linguagem rigorosa... das matemáticas e da metafísica, uma coisa é ou não é possível. Mas na ordem dos fatos... é natural que se considere um fenômeno como dotado de uma capacidade tanto maior em produzir-se, ou como sendo tanto mais possível, de fato ou fisicamente, quanto mais se reproduza num grande número de provas. A probabilidade matemática torna-se então a medida da possibilidade física, e uma destas expressões pode substituir outra." COURNOT, Théorie dês chances et des probabilités, p. 81. Por conseqüência, se diz "fisicamente impossível" o que é infinitamente improvável (o cone em equilíbrio sobre a sua ponta).
C. Diz-se "moralmente possível": 1º, o que não é contrário a nenhuma norma moral; 2º, o que não é contrário a nenhuma lei psicológica ou sociológica bem estabelecida: "Uma irremediável decadência da espécie humana é possível." RENAN, Dialogues philosophiques, 11, p. 64.
D. Diz-se possível o que está em potência e não em ato. Este sentido só se encontra na exposição histórica das doutrinas filosóficas antigas, salvo quando coincide com o sentido A.
...2º: Subjetivamente:
E. Diz-se possível aquilo de que aquele que fala não sabe se é verdadeiro ou falso, quer se trate do passado, do futuro ou do intemporal. "É possível que chova esta noite." "É possível que Demócrito tenha vivido mais de cem anos." "É possível que tal problema não tenha solução." Qualquer hipótese, matemática, física ou psicológica, é o enunciado, neste sentido, de uma relação ou de uma lei possíveis.
F. No sentido relativo, sinônimo de provável, C, mas com um menor grau de assentimento. O que é "muito possível" pode ser apenas mediocremente provável. Em particular, diz-se "igualmente possíveis" do ponto de vista subjetivo, ou "igualmente prováveis", os fatos tais que aquele que fala não tem nenhuma razão para esperar que um se produza de preferência a outro: por exemplo, extrair uma bola branca ou uma bola preta de um saco que se sabe conter bolas cuja cor e número respectivos são desconhecidos.

CRÍTICA
A unidade desta noção, que parece tão heterogênea à primeira análise, consiste na disciplina que ela representa relativamente às nossas ações, e juízos que com ela se relacionam: é possível tudo o que não está antecipadamente condenado, tudo o que vale a pena ser examinado ou tentado, tudo o que deve entrar nas nossas previsões. De acordo com uma observação muito justa que data pelo menos de Bacon, é a universalização das relações concebidas que constitui o movimento espontâneo do espírito: "Gliscit intellectus humanus, evolat adgeneralia"; a ciência procede sobretudo através de raciocínios negativos "per exclusiones et rejectiones debitas". Do mesmo modo, a representação concreta objetiva-se espontaneamente; crê-se naturalmente naquilo que se representa com intensidade. São necessárias razões especiais de negação para o reduzir ao estado de simples imagem. A idéia de impossibilidade é, portanto, de alguma maneira, psicologicamente anterior à de possibilidade: ela é a constatação ou o anúncio de um fracasso e opõe-se diretamente à confiança primeira do espírito sem crítica. Depois, através de uma segunda reflexão, é estabelecida a regra de considerar como duvidosas a verdade das proposições ou a eficácia das maneiras de agir enquanto não forem sistematicamente postas à prova; a partir de então, tudo o que não for confirmado ou rejeitado decididamente forma o domínio da possibilidade, incluindo o da probabilidade. E porque o exame de que se trata pode ser válido para qualquer espírito, a noção de possibilidade circunscreve um duplo domínio, subjetivo e objetivo.
Rad. int.: Posibl.

Sobre Possível — O "sentido subjetivo" nesta palavra é apenas um emprego mais ou menos abusivo do "sentido objetivo". Se digo que é possível que chova esta tarde, é porque isso é, com efeito, fisicamente possível. No caso de uma expressão como esta: "É possível que tal problema não admita solução", sai-se evidentemente do sentido próprio, porque é necessário em si que o problema seja solucionável ou não, ainda que eu não possa, no estado atual dos meus conhecimentos, sabê-lo. Julgando pelo conjunto de dados de que disponho, devo ter como possível tudo aquilo de que não veja claramente a impossibilidade. (J. Lachelier)
O aspecto subjetivo da idéia de possibilidade não parece nem menos primitivo, nem menos essencial do que o aspecto objetivo. A dúvida, a idéia de talvez (forsan) é impossível de suprimir do pensamento, enquanto a idéia do possível objetivo, diferente do que acontece de fato, foi eliminada por certos filósofos, por exemplo Espinosa. Podemo-nos perguntar se o próprio Leibniz não a transformou completamente para lhe conservar o nome quando reduz a possibilidade à não-contradição: no sentido comum da palavra, era impossível que o que quer que seja no mundo fosse diferente do que é, uma vez que a própria escolha deste mundo, de fato, tem razões eternas, e não podia ser diferente do que foi. (A. L.)
Ch. Serrus, no seu Traité de logique, chama a atenção para a diferença entre os dois pares de oposição modal admitidos pelos escolásticos — possível, impossível; contingente, necessário — e os dois pares de oposição admitidos por Facciolati (gramátjco, lexicógrafo e lógico do século XVIII) — possível, contingente; impossível, necessário. A primeira lista tem um sentido ontológico, e é assim que Boécio compreende no contingente a liberdade humana e o acaso. A segunda tem um caráter sobretudo lógico: o possível é o que não está demonstrado, mas não é excluído; decorre, por conseqüência, da essência, e opõe-se por isso ao contingente, que diz respeito ao acidente. Por exemplo, é possível, sendo dada a definição do triângulo, que os seus ângulos sejam iguais a duas retas (demonstraremos mais tarde que é assim); é contingente que Pedro esteja doente (só poderemos saber por experiência se é verdadeiro ou falso). Traité de logique, cap. VIII, pp. 116-117.


in Vocabulário Técnico e Crítico da Filosofia; Lalande, André – Martins Fontes – São Paulo, 1996

o Louco


Essa carta, o primeiro Arcano Maior, mostra um jovem corajoso, vestido apenas com peles de animal, executando uma espécie de acrobacia à beira de um precipício. Traz na cabeça uma coroa de folhas de parreira e da testa lhe saem dois pequenos chifres de cabrito. Seus olhos estão voltados para o romper do dia, a distância, onde o sol começa a despontar por entre as montanhas. A sua volta, apenas uma paisagem desolada e árida. A esquerda, oculta pelas sombras da noite que acaba de terminar, vê-se a entrada de uma caverna, de onde o rapaz acaba de sair. Em cima da entrada da gruta, surge um galho igualmente seco e desfolhado onde uma águia está pousada.

A águia é o pássaro de Zeus, rei dos deuses, que observa o Louco prestes a se lançar no desconhecido.

A caverna da qual ele acaba de sair representa o passado, algo sombrio e não identificado, a partir do qual a conscientização sobre a própria individualidade está prestes a tomar forma.

Os pequenos chifres na fronte, assim como as peles que o cobrem, sugerem que o rapaz pode ser comparado a um selvagem, conduzido apenas pelo instinto, ainda inconsciente e desprovido de saber.


in O Tarô Mitológico; Sharman-Burke, Juliet; Greene, Liz – Edições Siciliano – São Paulo, 1988 — Ilustração de Tricia Newell

Chu de China


Chu fez sua última aparição pública em janeiro de 1975, durante o IV Congresso Nacional Popular. Num discurso previamente aprovado por Mao, Chu informou aos delegados que a China iria implementar as "Quatro Modernizações", isto é, a "modernização da agricultura, da indústria, da defesa nacional e da ciência e tecnologia antes do final do século, a fim de que nossa economia fique entre as mais importantes do mundo".
Com a doença avançando, Chu teve de ser confinado a um leito de hospital, mas ainda recebia visitantes estrangeiros e redigia. Num raro gesto pessoal, Mao escreveu este poema ao companheiro que morria:

"Guardiões leais que tanto se sacrificaram por sua nação nunca temem o destino final.
Agora que o país se tornou vermelho, quem serão seus guardiões?
Nossa incompleta missão pode levar mil anos.
A luta nos cansa e nosso cabelo está grisalho.
Você e eu, velho amigo, podemos assistir passivamente à destruição de nossos esforços?"

Com a mulher ao seu lado, Chu En-Lai morreu às 9 horas e 57 minutos no dia 8 de janeiro de 1976, num hospital de Pequim, aos 78 anos. Não houve guarda de honra nem música no funeral de Chu. Espectadores silenciosos se colocaram ao longo das calçadas de Pequim, enquanto uma ambulância com seu caixão circulava pelas ruas. Atrás seguiam os carros trazendo sua esposa e outros velhos camaradas. O cortejo se dirigiu para as Colinas do Oeste, onde ficavam o crematório e o cemitério dos heróis revolucionários.



Os nacionalistas de Chang, fotografados aqui, travaram uma luta selvagem contra os comunistas de Chu, em Xangai, em 1927. Ambos os grupos queriam tirar o controle da cidade das mãos do senhor da guerra local que a governava.

in Chu En-Lai, Os grandes líderes; Hoobler, Dorothy e Thomas – Nova Cultural – São Paulo, 1988

Ex machina


"(1) A palavra árabe "mahassar", que quer dizer máquina, ou moinho, que o P. Salermo duvidava (a) pudesse ser o mesmo que o moinho de roda vizinho ao local por nós antes notado, e que em tal local tivesse havido moinho, vale para conjeturas uma roda de pedra de moinho vizinha, ao quarteirão, porém, mais próxima da igreja do hospital que os sacerdotes, começada em 1697 por D. Ferdinando Bazan, cidadão e arcebispo de Palermo. Estava de pé essa porta sob o reinado de Guilherme II, Rei da Sicília; da qual se fez doação do supradito moinho "massara" vizinho desta porta à igreja de Morreale. A antiga porta de Palermo não mais existente, do D. D. Gaetano Giardino, obra póstuma em Palermo, na imprensa Granignani 1732 c. 5, p. 14 e seg. Pirrh. not. 3 Eccl. Montereg. t. 1, pg. 402.

"(a) Salern. digress. 1 à vida de Santa Rosalia de Coscini (Concedemos-lhe espontaneamente e gratuitamente um moinho para moer canas de açúcar, que é chamado em sarraceno — "massara", com todos os devidos pertences" (I).

"(I) Pírrh. ut sup. t. 1, pg. 402

in A origem dos cilindros na moagem da cana, Investigação em Palermo – Instituto do Açúcar e do Álcool – Rio de Janeiro, 1955

abril 30, 2007

Segredo


— Sabe, disse ele ao visconde, que o colega fez a maior coisa que ainda foi feita nos domínios da ciência? Sabe que resolveu problemas tremendos, e que daqui por diante a ciência vai basear-se nestas suas maravilhosas experiências?
O visconde alisou as palhinhas de milho do pescoço e agradeceu modestamente o elogio.
— Quero ver o seu laboratório, disse o doutor. Deve ser a maravilha das maravilhas.
Mas quando foi à Cova do Anjo e viu que o maravilhoso laboratório não passava dum buraco na figueira, com um microscópio feito dum velho binóculo sem vidro, uma lamina Gillette, umas agulhas e uns algodõezinhos, ficou sem saber a que pensar, nem o que dizer. Aquilo era positivamente o assombro dos assombros, o espanto dos espantos.
— Não entendo, disse, ele. Parece-me de todo impossível que com estes rudimentaríssimos recursos o visconde conseguisse os prodigiosos resultados que conseguiu. Não entendo. E creio que se eu ficar por aqui mais uns dias, acabarei louco. Cada vez mais me espanto com as coisas que vejo...
— Não se afobe, doutor, disse Emilia. O nosso segredo é o Faz-de-Conta. Não há o que não se consiga quando o processo aplicado é o Faz-de-Conta. O nosso grande segredo é esse.
O barbudo sábio ficou na mesma, com perfeita cara de asno, e mais uma vez murmurou:
— Não entendo...
— Pois faça de conta que entende, doutor, e vamos tomar o café. Agora é com pipoca... concluiu Emilia, puxando-o pela aba do paletó.

in O espanto das gentes; Lobato, Monteiro – Companhia Editora Nacional – São Paulo, sd – Ilustração de J. U. Campos

Oficial


Após a reforma e reinauguração do edifício que abriga a Oficina da Palavra, em dezembro de 2006, a proposta da primeira programação em 2007 é uma série de quatro apresentações, dentro do projeto "Palavra em Cena", que acontecerão nos meses de maio e junho próximos. O principal intuito do projeto Palavra em Cena é apresentar a leitura de textos literários, dramatúrgicos ou roteiros, para fortalecer a palavra falada, com a finalidade de formar público, tanto para a literatura e a poesia, quanto para as áreas de artes cênicas. O projeto comporta desde espetáculos de curta duração (no máximo 50 minutos) até a leitura de textos literários, poesias ou de espetáculos em preparação ou ensaio. Apresenta autores novos, clássicos revisitados ou traduções e adaptações. Depois da apresentação abre-se um debate com o público, discutindo e informando sobre o texto, autor, apresentação ou leitura realizada. Nas edições anteriores o projeto Palavra em Cena trouxe, entre outros, textos de autores como Manuel Bandeira, Lya Luft, Machado de Assis, Hilda Hilst, Nelson Rodrigues, Frreira Gullar, além de Mário de Andrade.
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in Programação do 1º Semestre das Oficinas Culturais do Estado de São Paulo